Jean Parisot de la Valette: Differenza bejn il-verżjonijiet
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==Bijografija==
Twieled fl-1494 fix-Château de Labro f'Parisot (Tarn-et-Garonne) fir-Rouergue<ref>Le Rouergue hi provinċja antika fin-Nofsinhar ta' Franza li bejn wieħed u ieħor tikkorrispondi mad-département de l'Aveyron ta' daż-żmien.</ref>, [[Franza]]. Kien it-tieni tifel ta' Guillot jew Guillaume de la Valette-Cornusson (miet 1513]), Kavalllier, Sinjur ta' Cornusson u ta' Boismenon, Ġentilwom ordinarju tal-Kamra tar-Re, u ta' Jeanne de Castres, (mietet 1548), après 1°Guillot, suivront : 3° : Guillaume, prieur de Saint-Saturnin ; 4° : François, évêque de Vabres en [[1561]], présent au [[Concile de Trente]] en [[1563]] ; 5° : Antoinette, mariée en [[1533]] à Raymond de Gibry, seigneur de Caylus en Quercy ; 6° : Béatrix, mariée à Hugues de Brailh, seigneur de Bramaux en Albigeois<ref>''Recueil de généalogies'', t.I ou t.XIII du ''Dictionnaire de la noblesse'', à Paris chez Lamy et Badiez, 1783, p.332.</ref>.
Il entra à 20 ans à l’[[Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem|ordre de Saint-Jean de Jérusalem]]. Il se trouva au siège de l'île de [[Rhodes]] en [[1522]] avec 159 autres chevaliers de l'Ordre et leur Grand-Maître [[Philippe de Villiers de L'Isle-Adam]], fut fait prisonnier par le corsaire [[Dragut]], et Soliman le Magnifique, admiratif du courage de cette poignée d'hommes, leur laissa la vie sauve et leur redonna la liberté le {{date|1|janvier|1523}}. Ils trouvèrent refuge à [[Civitavecchia]], puis à [[Viterbe]] et à [[Nice]]. [[Charles Quint]] leur cède : [[Tripoli (Libye)|Tripoli]] et [[Malte]], dont ils prennent le nom. Il devient prieur de [[Saint-Gilles]], gouverneur de [[Tripoli (Libye)|Tripoli]] en [[1537]] et [[général des galères]] de Malte en [[1554]]. Sa devise était : {{Citation étrangère|langue=la|Plus quam valor, Valetta valet}}.
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